Internat Artima
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Une école ou tout genre d'art s'enseigne. Mais une magie inconnu reigne dans cet Internat. Serez-vous capable de la maitrisé ou serez vous rejeté par la magie du lieu?
 
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 Iddia Etmek

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Iddia Etmek
Fondatrice - Professeur
Iddia Etmek


Messages : 37
Date d'inscription : 19/10/2009

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MessageSujet: Iddia Etmek   Iddia Etmek Icon_minitimeVen 23 Oct - 23:45

I – Identité



Nom: Etmek
Prénom: Iddia
Âge: 21 ans
Pierre: Diamant, mais je contrôle toute les pierres
Signe Particulier: Non.


II - Descriptions :


Caractère: [minimum 5 lignes]
Idia est une fille qui garde toujours son sang froid. Elle n’a pas froid aux yeux et n’a pas peur de la mort. Elle exprime ces sentiments librement, n’ayant pas peur de se sentir jugé. Sans avoir beaucoup d’ami, ceux qui la connaissent apprécient sa grande franchise et sa loyauté. Pas très têtu, elle a pourtant confiance en ces valeurs. Solitaire jusqu’au bout des doigts, elle n’aime pas le bruit, ce qui trouble son silence religieux. Elle n’a aucune peur de la mort, de la douleur dans toute ces formes, aucune peur de faire mal aux autres. Elle s’estime libre, libre de corps et d’esprit. Orgueilleuse et prétentieuse en apparence, elle est très humble et sait reconnaître ces erreurs. Aucune colère ne dort en elle, aucun sentiment enfuit en son être. Aucune vengeance.

Histoire: [minimum 10 lignes]
Mon histoire? Que voulez vous savoir? Je n’ai pas encore d’histoire. Si je vais en avoir un jour? Je ne sais pas non plus. Mon enfance? Mais je suis un enfant! Ok, un enfant majeur, oui. Un enfant qui réfléchit trop bien pour un enfant? Oui aussi. Mais je ne me considère pas comme une adulte. Je ne suis pas un adulte. Qu’est-ce qui définit l’adulte? Une simple loi disant qu’à 18 ans, tu es majeur? Je ne crois pas ça possible. A oui, je m’égare, désolé. Bon, que voulez vous savoir déjà? A oui, mon enfance. Ou plutôt mon histoire. Je peux vous raconter ce que j’ai vécu jusqu’ici. Mais je vous le dis, ça va être vague. Très vague. Parfois, les périodes les plus importante s’efface et les souvenir difficile, humiliant, reste. Et bien moi, ces la même chose. Sauf que moi, je n’ai rien pue oublier. Parce que je ne me souviens pas d’avoir déjà été heureuse. Peut-être suis-je une adulte finalement… A vous de voir.

Je suis née le 8 avril il y a 18 ans de cela. Mes deux parents étais la, devant moi. Mais je ne pouvais être heureuse d’être sortit de cette confortable poche dans le ventre de ma mère. Doucement, je me calma. Mais je n’étais pas heureuse. Pourquoi toujours ponctuer mes phrases de celle-ci? Pour que vous compreniez, sans doute. Alors laisser moi terminer. Tout de suite, mes parents ont remarqué d’étrange trait de caractère chez moi. Je ne pleurais pas. Jamais. Mais jamais un sourire ne franchissais mes lèvres. Très tôt, je sus parler. Pourtant, je resta silencieuse. Je découvrais en science, sans jamais avoir l’air de m’amusé, d’être surpris. Déjà, j’étais silencieuse, solitaire. Mais pas heureuse. Jamais.

À l’école, mes notes étaient bonnes. Sauf en oral. Je ne parlais pas. Jamais. Je n’avais pas d’ami. A quoi bon? Mais je n’étais pas heureuse. Je pleurais souvent. En silence. Comme toujours. Mes parents se demandaient si je n’étais pas muette. Mais je ne voulais pas parler. Tout simplement. Pourtant, j’entretenais ma vois. A chaque soir, je disais la même phrase pour m’assuré que ma vois gardais son authenticité. Heureusement parce qu’un jour, mes parents vinrent me voir.

- Iddia, ton père et moi avons décidé quelque chose. Si tu ne nous parle pas, nous allons t’envoyer dans un asile pour les gens qui ne veulent pas parler.
- Vous pouvez m’y envoyer, maman, papa. Mais cela ne donnerais rien. J’aime le silence et jamais je ne gaspille les mots.

Mon père sursauta en entendant ma vois. Tout comme ma mère. Jamais, il ne m’avait entendus parlé. Je savais bien que je les inquiétait. Puis, ma mère me reposa une question, la vois tremblante.

- Es-tu heureuse, ma fille? Es-tu heureuse?
- Je n’ai jamais été heureuse maman. Je ne vois pas en quoi cela te trouble. Pour répondre à ta question, non, je ne suis pas heureuse. Mais je ne l’ai jamais été, et cela n’est pas de votre faute. Je crois que j’en ai jamais eu l’occasion. Merci de vous inquiété, mais ce n’est pas nécessaire.

A ce moment, j’avais 7 ans. Et mes parents furent profondément choqués par la profondeur de mes paroles. Mon soprano sonnait comme celui d’un adulte, sans éclat, comme si la vie ne valait rien. Mais ma vois étais toujours comme ça. S’étais sans espoir. Je le croyais fermement. Mes parents me suivirent beaucoup. Ils avaient peur à mon suicide. Mais ce n’étaient certes pas dans mes plans. Je comptais profité de la vie, peut importe que ce soit avec la parole ou dans mon silence éternel.. Mon silence éternel. Parce que Je pouvais déjà, brièvement, stoppé le temps. Mes parents, au fil des années, découvrirent ma passion pour l’art et cherchèrent une école. Et il dénichèrent un Internat. L’Internat Artima. Alors je passa les tests. Et je fut reçu. Je quitta mes parents a l’âge de 14 ans pour vivre dans cet Internat. Je n’y retournais que l’été.

Mais aujourd’hui, je parle. Vous vous demandez sûrement pourquoi. Je vais vous en parler. Dès mon entré dans cette école, je regarda le monde d’un œil nouveau. Et je parla. Très vite, je me lia d’amitié avec mon parfait contraire. Mina. Mina Fitzroy. Elle avait 1 ans de plus que moi, elle parlait souvent, elle écœurait même. Mais je l’aimais bien. Aujourd’hui, tout va bien. Je suis professeur, j’adore mon travail et je suis profondément heureuse.

Cela vous semble une belle histoire, digne d’un livre? Je vous la raconte comme si j’avais été heureuse? Détrompez-vous. Si aujourd’hui je suis heureuse, c'est grâce à des gens qui on crus en moi malgré se fait que je sois solitaire et que je ne me croyais pas fait pour le bonheur. Faite confiance a la vie et elle vous sourira. Vous comprenez mieux? Parfait. Parce que ça veut dire que vous me comprenez mieux. Encore aujourd’hui, j’ai des périodes ou je ne parle pas beaucoup, ou j’ai plus besoin de solitude. Si la première fois vous n’avez pas comprit, si vous venez à peine de comprendre, relisez et comprenez le sens de cette enfance difficile. Suis-je une adulte ou une enfant? Celons-moi, une enfant. J’ai vécu à l’envers. Je suis née avec la conscience affreuse des adultes, puis j’ai commencez à m’ouvrir et à découvrir la beauté du monde. Oui, je suis une enfant. Mais ne suis-je pas une adulte en même temps?


Autre:
Il n’y a rien à ajouté.

III - Vous derrière l'écran :


Nom ou surnom: Sab’ee.
Âge: 13 ans.
Comment avez-vous connu le forum? Je suis fondatrice avec Mina.
Niveau de rp sur 10: Dépendant du contexte, de mon niveau d’inspiration et de la compréhension des gens… Je ne sais pas. Je peux faire le minimum de ligne comme je peux faire 40 lignes.
Avez-vous lu le règlement?
Validé
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Iddia Etmek
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